Dominique Ramos

La généalogie au service de la psychologie

La psychogénéalogie


Je propose des séances individuelles de psychogénéalogie et des ateliers sous forme de jeu en collectif. Dans les 2 cas, je m’appuie sur un jeu de cartes que j’ai conçu, « Mon arbre m’a dit », pour aborder divers aspects de votre arbre et déceler les zones conscientes ou inconscientes à creuser
.

Qu'est ce que la psychogénéalogie?

Le terme «psychogénéalogie» est l’alliance de deux mots : «psycho», psychologie et «généalogie», étude de la filiation. C’est l’analyse de l’histoire générationnelle, une histoire inscrite malgré nous dans chacune de nos cellules.


Nous sommes le fruit de l’histoire de nos deux parents.


Jodorowsky dit : « Nous sommes habités par tous les membres de notre famille ».

Origines de la psychogénéalogie

Dans les années 50, aux États-Unis, émergent de nouvelles formes de thérapies autres que la psychanalyse. L’école Palo Alto est un courant de pensée et de recherche duquel naîtront : 
– les thérapies familiales
– les thérapies brèves dites systémiques
– les thérapies corporelles, etc.

C’est dans ce creuset 
qu’éclot « la psychogénéalogie », conjugaison de plusieurs mots : psyché – psychologie – et généalogie, origine des gênes et filiation. C’est Alejandro JODOROWSKY qui est à l’origine de ce nom. Avec Anne ANCELIN SCHÜTZENBERGER, ils sont les premiers en France à vulgariser cet outil.

Pourquoi faire de la psychogénéalogie ?

Notre vie, programmée pour la survie de l’espèce, est un maillon d’une longue chaîne de générations. L’hérédité ne se limitant pas aux caractéristiques physiques, nous héritons aussi des mémoires émotionnelles de nos aïeux. J’ai coutume de dire que notre vie est une série de boucles, formant une chaîne. Si ces boucles se ferment, tout va bien et la vie continue. Si elles ne se ferment pas, le conflit, le choc émotionnel, la problématique… sont toujours présents et tout va se mettre en place pour qu’ils réapparaissent, nous donnant l’opportunité de fermer les boucles.

Par exemple : Une famille qui perd un bébé de 1 an ne pourra pas en faire le deuil si elle n’est pas aidée. L’idée qu’elle se faisait de cet enfant va se plaquer sur l’enfant suivant. C’est donc celui-ci qui va devoir faire le travail de deuil pour se décoller de la projection de son frère ou de sa sœur décédé(e). Pour retrouver son identité, pour vivre SA vie, il lui faudra fermer cette boucle et ouvrir la sienne. Ce qui est amené à la conscience, parlé, digéré, métabolisé se clôt !

On retrouve ces idées dans la bible : « Les parents mangent des raisins verts, les enfants en ont les dents agacées. » ou « Tu transmettras ta faute sur 3 ou 4 générations. »

Également chez Sigmund FREUD : En 1912, dans Totem et tabou, il écrivait : « Il n’y a pas de processus psychique plus ou moins important qu’une génération soit capable de cacher à celle qui suit ». Et à la fin de sa vie : « On ne comprend rien aux traumatismes de l’enfant sans faire appel aux générations précédentes ». Il faut que la vie se perpétue à tout prix !
Nous sommes donc pris entre deux forces antagonistes, l’une programmée pour la survie qui ne veut rien changer et l’autre qui nous pousse à créer, à élever notre conscience, à évoluer… Pour nous connaître, nous devons savoir d’où nous venons !

Dans son livre « Votre corps a une mémoire », Myriam Brousse écrit : « Tout ce que notre esprit s’efforce d’oublier parce que c’est insupportable, notre corps le porte en lui. Il s’en souvient et continue d’agir en fonction de cette mémoire enfouie peut-être, mais néanmoins tatouée dans notre chair ».

Notez que si nous ne nous en occupons pas, nos descendants devront le faire, car la mémoire du corps se transmet au niveau cellulaire. Alors, petit à petit, fermons les boucles, et l’énergie en fuite favorisant la maladie reviendra vers nous…
Faisons la paix avec nos ancêtres, avec notre histoire ! Cessons les guerres intestines, apaisons notre corps et notre mental ! Ainsi, bien enraciné(e)s, le tronc solide et le feuillage touffu, nous honorerons l’arbre de notre vie… Le travail en psychogénéalogie est, selon moi, un devoir lorsque l’on a des enfants.

À qui s'adresse la psychogénéalogie?

La psychogénéalogie s’adresse à toute personne :

  • en souffrance
  • cherchant à dénouer les liens du passé
  • ayant la sensation de porter un poids qui ne lui appartient pas
  • se sentant prise dans des schémas répétitifs
  • ayant envie de creuser son arbre génalogique
  • ayant le sentiment de ne pas vivre sa vie…

Ce que je propose


L'initiation à la psychogénéalogie

Je vous propose de vous former à la psychogénéalogie au travers de différents modules. Chaque module se déroule genéralement en deux fois.

Le premier module représente la base de cette formation, il est donc nécessaire de le réaliser avant n’importe quel autre module.

80€/module

Ouverture du cours à partir de 3 inscrits

Module 1 – Monter son génosociogramme
Module de base indispensable pour les autres modules

Créer son arbre généalogique ou génosociogramme de manière à ce qu’il soit facilement lisible.

Le terme génosociogramme est un terme qui a été inventé par Alejendro Jodorowski.

Il s’agit là d’un arbre généalogique ou n’apparaissent pas seulement les noms et les dates, mais aussi tous les évènements qui ont marqué l’histoire familiale et par conséquent, peuvent avoir marqué les générations descendantes.

Pour que l’on puisse travailler avec cet outil, il faut qu’il soit clairement établi selon des règles et des codes que je vous donnerai lors de cette étape, indispensable pour pouvoir participer aux autres modules.

Prochaines dates :

A venir

Autres modules

Pré-requis : Avoir fait le 1er module (Monter son génosociogramme)

Les dates et les rangs de fratrieLes noms et prénoms

Les différentes dates : conception, naissance, mort…
Que nous disent-elles ? Quels liens peut-on faire ? Les morts dits « mal morts ! » : comment les repérer ? Que faire pour clore leur cycle ?

Prochaines dates :

Samedi 21 Décembre – 10h-16h

Qu’est ce qu’ils veulent dire ?
Pour qui, pourquoi ?
Les répétitions.
Le projet sens.
Les liens à faire.

Prochaines dates :

A venir

Les secrets de familleLes maladies

Toutes les familles ont leurs secrets.
Certains sont utiles, d’autres empêchent les générations descendantes de vivre.
Allons à leur découverte !

Prochaines dates :

Samedi 8 Février – 10h-16h

La somatisation c’est le corps qui parle.
Et ce n’est jamais au hasard. L’organe qui souffre vient dire quelque chose de l’histoire et du
conflit inconscient sous jacent.
L’éclairer, peut permettre de se libérer de ce qui nous rend
malade.

Prochaines dates :

Samedi 11 Janvier – 10h-16h

Le couple

C’est l’acte le moins libre que nous fassions. Il est toujours en miroir et le reflet de nos
histoires. C’est le laboratoire de la vie.

Prochaines dates :

Samedi 15 Mars – 10h-16h


Les séances individuelles

À partir d’un objectif que nous déterminerons ensemble, nous monterons votre arbre, et, tels des détectives, nous en explorerons les branches à la loupe.

Ce travail vous aidera à mettre du sens sur votre vécu et à éclairer vos ressentis corporels et émotionnels. Cette mise en lumière de votre histoire pourra être une source d’apaisement.
Votre thérapeute, tel un détective, va regarder à la loupe toutes les étrangetés et les resituer dans leur contexte :
– Que se passait-il à cette époque ?
– Comment les gens vivaient-ils ?

Les guerres ont complètement modifié la vision de la vie des peuples. Les peurs, les angoisses, les haines, les désillusions qu’elles ont engendrées se répercutent sur plusieurs générations.

Si nous ne faisons pas de travail, nos descendants devront le faire, souvent de façon inconsciente, car la mémoire du corps se transmet au niveau cellulaire. L’énergie en fuite peut favoriser l’apparition de maladies. En fermant les boucles, nous stoppons les fuites énergétiques.

 Ma pratique s’inscrit dans un cadre régulièrement supervisé.


Les ateliers collectifs

Chaque groupe est composé de 4 à 5 personnes. On s’appuie sur le jeu que j’ai conçu pour aborder divers angles de votre arbre familial : autour d’une table, chaque personne lance le dé et prend la carte correspondant à la couleur du dé (Rouge = père, Bleu = mère, Vert = grands-parents, Jaune = moi, Orange = divers, Rose = action).

Je suis là pour vous aider à élaborer… à faire des liens… à mettre du sens ! La richesse du groupe tient à l’effet miroir des histoires des uns et des autres. Lorsqu’une personne répond à une question, les autres répondent également dans leur tête.

Notre histoire c’est : le nez sur le carreau ! On n’en voit que ce qui peut être vu. Nous la pratiquons depuis que nous sommes né(e)s.
C’est donc LA NORME !
Ce travail permet de prendre du recul, et de la découvrir différemment. Vous pouvez venir 1, 2, 3 fois ou pour un travail en profondeur sur 10 séances.

Ce sont des groupes ouverts, c’est-à-dire que vous ne retrouverez pas forcément les mêmes personnes à chaque fois. Ceci permet de mixer les histoires et d’enrichir le travail. Pas besoin d’avoir monté votre arbre pour participer ! Chacun vient avec ce qu’il est et là où il en est.
Ma pratique s’inscrit dans un cadre régulièrement supervisé.

Le tarif est de 45€ par personne

Pour toute question ou réservation, veuillez me contacter
par téléphone au 
07 81 34 82 65
ou
 via le formulaire de contact prévu à cet effet.