Après quelques années de psychothérapie, il est devenu évident pour moi de devenir psychothérapeute, pratique que j’exerce depuis 20 ans à Albi.
Je suis entrée en 1998 à l’École Française d’Analyse Psycho-Organique, crée par Paul Boyesen, reprenant les techniques psychocorporelles de sa mère Gerda Boyesen, qu’il a enrichies de différents courants psychanalytiques.
Par la suite, je me suis formée en « Biologie totale des êtres vivants » (sur le sens des maladies), avec Hervé Scala, élève de Claude Sabbah, célèbre cancérologue montpelliérain.
C’est à la suite de ce travail que j’ai découvert la psychogénéalogie, domaine dans lequel j’ai continué mes recherches. J’ai notamment eu l’occasion de faire un stage avec Anne Ancelin Schützenberger, auteure du best-seller « Aïe, mes aïeux ! ».
Depuis toute petite, je suis passionnée par l’histoire des gens que j’ai commencé à écouter dans le magasin de mes parents. Je me suis rendue compte qu’eux-mêmes ne racontaient rien de la leur, aussi allais-je la chercher chez mes grands-mères.
Toutes les histoires me passionnent.
Notre histoire est la terre dans laquelle plongent nos racines. Selon celle-ci, naîtra un arbre épanoui ou un arbre maladif.
Interroger ses « racines » est un outil puissant pour comprendre d’où l’on vient, nettoyer et réparer les parties malades. Il en résultera une meilleure connaissance de soi et une vie allégée.
Pendant une quinzaine d’années, j’ai animé des ateliers puis des formations à la psychogénéalogie. Il m’est ensuite venu l’idée de créer un jeu qui permette à chacun d’élaborer son arbre de manière simple, et de commencer à décortiquer sa généalogie.
Je l’utilise comme outil thérapeutique dans une version plus élaborée, lors de rencontres mensuelles.
Ma pratique s’inscrit dans un cadre régulièrement supervisé.